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23 mai 2012 3 23 /05 /mai /2012 10:23

courrier de J.M. AYRAULT:

 

JM-Ayrault.jpg

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25 avril 2012 3 25 /04 /avril /2012 15:46

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snics

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sud

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En Mai, fais ce qu’il te plaît

 

En Mai, soyons nombreux à refuser

les pressions de l’ordre infirmier qui lance une nouvelle campagne d’adhésion et de cotisations

 

Il tente ainsi de s’imposer malgré l’opposition des professionnels et nous contraindre à payer.

Démontrons-lui qu’il ne pourra survivre si les professionnels ne l’acceptent pas.

 

Bravos et félicitations aux 430 000 infirmières et infirmiers

qui refusent l’ordre infirmier.

 

Pour preuve, 113 381 inscrits en mars 2012 mais seulement 93 936 cotisants, alors que près de 530 000 professionnels sont actuellement en exercice.

 

 

Combien parmi ceux-ci, ont été contraints et forcés d’adhérer à l’ordre par leurs employeurs qui en ont fait une condition à l’embauche ou par les Caisses Primaires d’Assurance Maladie pour continuer d’exercer en libéral ?

 

 

 

Ensemble, réaffirmons haut et fort que nous refusons de payer pour travailler.

Ensemble, réaffirmons que nous n’avons nul besoin d’une structure ordinale.

Ensemble, soyons encore plus nombreux à nous opposer à l’ordre infirmier.

 

 

Notre nombre, notre conviction, notre détermination communes finiront par l’emporter.

N’hésitez pas à vous rapprocher des syndicats en cas de besoin.

 

Et n’oubliez pas d’envoyer la carte postale intersyndicale au Président de la République !

 

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24 avril 2012 2 24 /04 /avril /2012 07:08

 

Depuis quelques jours, une vague de relances avec menace de poursuite judicaire
est effectuée par des cabinets d’avocats au nom de l’ordre des kinésithérapeutes.
Payer pour travailler,
que l’on soit kinésithérapeute, infirmier ou pédicure podologue…
C’est inacceptable.
Les organisations de l’intersyndicale Anti-Ordre réaffirment leur soutien plein et
entier aux salarié-e-s kinés qui refusent de cotiser à leur ordre.
Il nous semblerait de bon ton et cohérent qu’un courrier du même type que celui
envoyé à l’ordre infirmier par le ministre de la santé soit envoyé adressé au
président de celui des kinésithérapeutes pour l’inviter à arrêter son harcèlement
des salariés.
Les hôpitaux, cliniques, centre de rééducations, … souffrent dangereusement d’un
manque de kinésithérapeutes salariés. Le nombre de postes vacants de
professionnels salariés en rééducation augmente, cela met en péril la qualité des
soins du service public de santé. L’ordre pourrait, par ses menaces, aggraver la
pénurie de professionnels salariés et peser sur la dégradation de la santé de la
population.
Les kinésithérapeutes salarié-e-s n’ont pas besoin d’un ordre pour régenter leur
profession, car des pouvoirs disciplinaires existent déjà pour eux.

 

 

Logo UNSA SAnte sociaux public prive tsud

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cfdt

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26 mars 2012 1 26 /03 /mars /2012 19:52
Nous vous faisons parvenir ce courrier du ministre Xavier Bertrand qui demande que toute pression soit arrêtée. Même si, ne nous trompons pas, ce courrier est fait dans le cadre de la campagne électorale il est important de le connaître. Sur le Vinatier, pour l’instant, les pressions n’existent plus; nous vous rappelons quand même que la non inscription à l’ordre n’est pas un délit et ne doit pas être un frein à l’embauche...Notre combat contre l’ordre continue...Ceux qui se seraient inscrits à l’ordre peuvent arrêter de payer leurs cotisations et rester sourds aux rappels de l’ordre...Pour exercer il faut simplement avoir le diplôme et être inscrit au fichier Adeli.
Notre combat contre les ordres professionnels continue
 
La CGT Vinatier
minister-ordre.png
 

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14 mars 2012 3 14 /03 /mars /2012 14:52

Ordre IDE poubelleCommuniqué Intersyndical CFDT - CFTC - CGT - FO - SNICS - Unsa - SUD
Le 23 février 2012, interpellée par différents syndicats de la FPH sur :
- Les difficultés rencontrées par les personnels infirmiers,
- Le frein au recrutement et à la mise sous statut des IDE non adhérents à l’ordre infirmier,
Madame PODEUR, DGOS, a rappelé, si besoin était, que l’absence d’adhésion à l’ordre ne devait pas empêcher le recrutement dans les établissements de santé ainsi que la mise sous statut et titularisation des nouveaux diplômés.
Nous y voyons la confirmation de notre analyse, l’adhésion n’est pas obligatoire pour travailler et intégrer la fonction publique et en déduisons que si ce n’est pas un impératif dans le secteur public, ce ne peut pas, non plus, en être un dans le secteur privé.

 

Réunies en intersyndicale, nos organisations ont décidé de s’adresser ensemble :
- aux parlementaires sur l’ordre infirmier,
- aux ARS qui ne respectent pas la législation en vigueur pour délivrer le numéro ADELLI
- à la DGOS pour qu’elle ait connaissance des pratiques des ARS concernées
Nous proposons aux infirmier(e)s de s’adresser au président de la République en ces termes :
«  Je vous prie de bien vouloir prendre acte par la présente de mon refus d’être régie par un ordre professionnel infirmier. Ni adhésion, ni cotisation, comme l’immense majorité de mes collègues je refuse de devoir payer pour travailler.
Dans l’attente que vous donniez suite à cette doléance, et aux milliers d’autres qui vous parviendront, en légiférant en ce sens,
Acceptez Monsieur le Président de la République, mes respectueuses salutations  ».
Les revendications d’une immense majorité d’infirmier(e)s sont :
Toutes et tous uni(e)s pour la fin de l’ordre Infirmier !
on ne veut pas payer pour travailler !
Télécharger la carte postale à adresser au Président de la République contre l’Ordre infirmier:link

Télécharger le courrier intersyndical à adresser au Chef de groupe parlementaire contre l’ordre infirmier:link
Télécharger le tract national intersyndical contre l’Ordre infirmier: link


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12 décembre 2011 1 12 /12 /décembre /2011 12:51

 

ni_ordre.jpgCFDT Santé SociauxÞ CGT Santé Action Sociale  Þ CFTC Santé SociauxÞFO Santé Sociaux Þ SNICS FSU

SUD Santé SociauxÞUNSA Santé Sociaux


 


 

 

 

 

L’intersyndicale nationale pour l’abrogation des lois portant création des ordres professionnels  s’est réunie le mardi 29 novembre 2011.

 

 

Elle constate que l’ordre national des infirmiers, bien qu’affaibli, continue de mener sa politique d’agression envers les personnels infirmiers, surtout en direction de nos jeunes collègues qui rentrent dans la profession.

 

Aujourd’hui, l’ordre est complètement discrédité par une majeure partie de la profession, cette dernière étant ulcérée des méthodes employées par l’Ordre National des Infirmiers pour contraindre nos jeunes collègues de rejoindre l’ordre. C’est un chantage organisé à l’embauche !


De même, nos collègues qui souhaitent s’inscrire dans une formation qualifiante (cadre de santé, IADE, IBODE, puéricultrice) se voient contraints en remplissant leurs dossiers d’inscriptions d’apporter la preuve de leur affiliation à l’ordre. C’est légalement infondé ! Ceci démontre que l’ordre trouve quelques appuis dans les établissements en l’occurrence les directeurs de soins et les directeurs d’instituts de formation.

 

 

L’intersyndicale nationale est encore plus que jamais engagée dans ce combat que nous mènerons jusqu’au bout, à savoir jusqu’à l’abrogation de l’ordre national des infirmiers.

 

 

L’ORDRE EST AUX ABOIS, les salariés refusent de payer, alors il concocte un plan d’équilibre financier :

 

  • Licenciement de 41 salariés (dans un premier temps) ;
  • Suppression des structures ordinales au niveau départemental ;
  • Il obtient une ligne de crédit pour sa trésorerie suite à une intervention de l’Elysée auprès de l’organisme bancaire !!
  • Il ne peut faute de moyens, organiser la réélection des conseillers ordinaux comme prévu en 2012. Une décision du conseil constitutionnel l’a « épinglé ». Alors,  il obtient avec le soutien des plus hautes autorités de l’Etat, la prorogation par décret des mandats des conseillers ordinaux de deux ans, jusqu’en 2014 !!

 

Tout cela démontre que l’on ne respecte ni la démocratie ni la volonté majoritaire de la profession.

 

 

 

 

 

 

 

Face à cette situation, l’intersyndicale nationale a décidé de prendre les initiatives suivantes :

 

 

  •   Tract national à diffusion massive ;
  • Courrier au Ministre de la Santé, lui demandant de prendre enfin ses responsabilités ;
  • Communiqué de presse ;
  • Courrier à la DGOS (Directrice Générale du Ministère de la Santé)  rappelant les inadmissibles pressions subies à l’embauche;
  • Courrier aux Présidents des groupes parlementaires à l’Assemblée Nationale et au Sénat.

 

L’intersyndicale demande à l’ensemble de la profession de populariser encore nos positions, de s’organiser, et d’intervenir localement, départementalement et régionalement avec leurs organisations syndicales sur la base des formes d’actions que les « professionnels » auront décidées.

 

L’intersyndicale demande également à l’ensemble de la profession de l’alerter à chaque fois qu’elle aura connaissance d’une quelconque pression exercée à l ‘encontre de collègues.

 

Le 06.12.11.

 

Bien sur la CGT de l’hôpital de Dreux s’associe à toutes ces démarches comme elle le fait depuis le début de la mise en place de cet ordre infirmier :

Pour rappel, pétitions signées par plus de 300 IDE, manifestation à Chartres et à Paris, conférence de presse en 2010, délégation au député maire de Dreux en 2010 qui avait déclaré : ‘’ cet ordre est inutile et idiot, il veut vous prendre de l’argent’’.

 

 

 

Même gratuit on n’en veut pas !

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25 novembre 2011 5 25 /11 /novembre /2011 12:51

 

BF

Sauvetage in-extremis :

A lors que la

disparition de

l’ordre infirmier

semblait inéluctable au

regard de sa situation

financière

catastrophique, une

nouvelle fois, il a su

rebondir et sauver sa

peau, in extremis cet

été.

 

4 ans après sa création, seul 11% des infirmier-e-s cotisent à l'ordre!

 

L'ordre infirmier a 10 millions d'euros de dettes!

 

Le dépôt de bilan devait intervenir le 29 juillet dernier.

Rien ne laissait présager alors une autre issue que la

disparition de l’instance ordinale tant ses dettes étaient

abyssales (pour rappel près de 10 millions d’euros…).En

effet, l’argent manque car les infirmier-e-s,

massivement opposé-e-s à l’Ordre, continuent à juste

titre de boycotter cet impôt ordinal. Au 21 juillet, seul-es 110 000 IDE (sur 550 000

au total) étaient inscrit-e-s au tableau. Pire encore, seul-es 58.421 professionnelles

seraient à jour de cotisation!!!

En désespoir de cause, David Vasseur, Président par intérim, adressait le 28 juillet

un fax Mr Sarkozy en personne. Fax dans lequel il rappelle la situation

catastrophique des finances de l’ONI et insiste lourdement sur le fait que la

banque prêteuse de l’Ordre, la BPCE (Banque Populaire Caisse d’Epargne), refuse

« d’apporter son soutien financier à l’Ordre ». Il écrit : « je me tourne vers vous

dans un dernier élan d’espoir qu’un geste d’ouverture de la part du groupe BPCE

permette à l’Ordre National des Infirmiers de perdurer ».Et dans la nuit, le «

miracle » a lieu : la BPCE accorde un délai d’un mois

supplémentaire à l’ONI. Par sûr que nous, simples

Infirmier-es pourraient bénéficier d’une telle clémence

bancaire pour des sommes bien moindres…

 

 

Mot de l’ordre infirmier :

« économies »

Afin de commencer à économiser un maximum d’argent, et accessoirement,

d’assurer la rémunération des salariés de l’ordre, il a été demandé aux Conseil Régionaux

et Départementaux de l’Ordre (CROI et CDOI) de ne plus s’acquitter provisoirement de

certaines échéances telles que loyer, téléphone, internet et autres factures… Les rendant

ainsi insolvables ! Le but : permettre au Siège parisien de maintenir tant bien que mal la

tête hors de l’eau. Dans le même temps, un plan de restructuration drastique est étudié.

Dans les grandes lignes, il s’agit de diminuer le nombre de salariés. (sans toucher

aux postes des élus ordinaux, dont certains touchent jusqu’à 7000 euros par mois…), de

suspendre les missions jugées trop coûteuses, de supprimer les niveaux départementaux,

etc. Pour l’ordre, il s’agit d’alléger son fonctionnement et de modifier sa gouvernance

afin de réduire considérablement les dépenses et de convaincre la banque que ces

mesures suffiront à redresser la barre.

 

MOT

D'ORDRE DE LA CGT:

« SUPPRIMER L'ORDRE »

 

 

Réponse de la Banque

à l’ordre infirmier :

Fin août, les dirigeants de l’ordre ont

présenté leur plan de restructuration à la

BPCE, qui, soit dit en passant, continue de

perdre beaucoup d’argent dans cette

affaire… Malgré la pauvreté de

l’argumentaire et le peu de crédibilité qui

peut lui être encore décemment accordée,

le soutien à l’instance est réaffirmé.

La banque a jugé que le plan présenté

était convaincant « après une intervention

divine ». Pour l’ordre, la principale

condition est un retour à l’équilibre avec

l’objectif d’atteindre les 110 000 inscrits à

jour de cotisation pour mars 2012. D’après

les chiffres avancés par les dirigeants

ordinaux, fin août, il y aurait 101 525

inscrits au tableau dont 64 926 à jour de

cotisation soit un gain de 6505 cotisants

depuis fin juillet… La méfiance est de mise

tant l’ordre a déjà menti par le passé dans

ce domaine… Une chose est sûr, le forcing

a été fait auprès des ARS afin qu’elles

demandent aux établissements de relancer

l’appel à cotisation pour les IDE inscrits

mais ne s’étant pas acquitté-e-s de la taxe

ordinale. Les nouveaux diplômés

bénéficieront d’une lettre en accusé de

réception pour les enjoindre à s’inscrire à

l’ordre infirmier. Par ailleurs, les IDE

libéraux sont pris en otage car pour eux,

sans inscription pas d’autorisation

d’exercer !!

Le plan de restructuration présenté le 13

septembre 2011indique « une prévision de

recette de 90 000 cotisants » (dont 65 000

à ce jour)… « La grande marge de

progression se situe auprès des salariés

des structures ordinales… avec une

diminution de 76 équivalents temps plein.

La concentration des bureaux

départementaux et de la région d’Ile de

France sera regroupé au Conseil National

de l’Ordre Infirmier (CNOI) ».

Est-ce une mise sous tutelle de la région

majoritaire en infirmiers donc peut être

non inscrits à l’ordre ?

Les mauvais élèves n’ont qu’à bien se

tenir !

Pour les autres régions, le plan de

restructuration indique « les baux de tous

les départements (ou dans certains cas

régions) et du CNOI seront résiliés dès le

lendemain de l’adoption du plan ».

Pour la suite ? Une seule solution : continuer à ne pas

s’inscrire et arrêter de cotiser.

Nul doute que l’ordre se sent ragaillardi et bénéficie de soutiens

en (très) haut lieu. Elle est belle l’indépendance vis-à-vis des

pouvoirs publics tant de fois brandie par les défenseurs de

l’ordre ?…). Quoiqu’il en soit, il faut s’attendre à de nouvelles

manoeuvres sournoises et insidieuses orchestrées par ces gens. Ils

continuent, faisant fi du bon sens et du respect qu’ils doivent à la

profession, à vouloir lui imposer cet ordre pourtant clairement

désavoué par l’immense majorité des professionnels en exercice.

Dès lors, il s’avère que les cibles privilégiées des ordinaux vont être

dans les mois à venir : les étudiants en soins infirmiers et les jeunes

diplômés.

De plus en plus de chantages à la titularisation et au recrutement

pour les jeunes diplômés ont lieu, alors qu’aucune obligation

n’existe dans les textes, le numéro ADELI suffit pour le recrutement.

De plus, l’article 63 de la loi HPST prévoit la publication d’un décret,

non paru à ce jour, qui doit permettre d’inscrire automatiquement

les salariés à l’ordre IDE.

Nous devons rester vigilants et solidaires dans un boycott massif de

l’inscription à l’ordre. Ne cédons pas aux chantages divers et autres

éventuelles pressions. L’instance est fragile et n’a pas les moyens de

« punir » les récalcitrants. Il faut continuer à l’étouffer

financièrement.

Ne soyons pas dupes concernant le discours ambivalent de Xavier

Bertrand. D’un côté, il déclare haut et fort qu’il veut rendre

facultative la cotisation des IDE salariés, mais il veut maintenir

l’inscription obligatoire au tableau des IDE qui devraient ainsi se

plier au code de déontologie. Ce code est impossible à respecter au

regard des moyens mis à disposition par les employeurs,

notamment en effectifs) défaussant la responsabilité sur les

professionnels… D’un autre côté, il laisse les ARS donner des

directives aux établissements pour aider l’ONI à récupérer des

cotisations.

Avec la CGT, continuons de demander l’abrogation des

lois instaurant un ordre professionnel par le maintien

d’un boycott massif, et nous réussirons à faire disparaître

définitivement cet ordre inique.

Même gratuits,

les ordres professionnels,

on n’en veut pas !

Une seule solution : L’ABROGATION

 

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