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17 octobre 2014 5 17 /10 /octobre /2014 17:00

Journée militante à l’hôpital Saint-Vincent de Paul le mardi 27 septembre 2011 avec Marise Dantin (CGT hôpital Cochin), Bernard Giusti (CGT hôpital Saint-Vincent de Paul), Conférence d’Annie Lacroix-Riz : "La stratégie du choc en France, de la crise des années 1930 à celle d’aujourd'hui"

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17 octobre 2014 5 17 /10 /octobre /2014 16:44

Bonjour

Le mardi 21 Octobre a 18H30 aux archives municipales (derrière la gare PERRACHE) dernière conférence sur la sécurité sociale sa mise en place son devenir (voir pièce jointe) cette conférence vous aidera a mieux comprendre ce qui est en cause aujourd’hui et ainsi vous permettra de répondre aux mensonges des médias SAVOIR POUR COMPRENDRE

IHS CGT RHÔNE

LA SECURITE SOCIALE EN GRAND DANGER

Après la manifestation du 16 Octobre pour la défense de la sécurité sociale nous vous invitons a participer a la conférence qui aura lieu le

MARDI 21 OCTOBRE A 18 H 30 AUX ARCHIVES MUNICIPALES

PLACE DES ARCHIVES 69002 LYON (derrière la gare Perrache)

PREMIERE PARTIE

Il sera aborder la mise en place de la « sécu » 1944- 1945- 1946 ainsi que les premières attaques dès 1947 (intervention IHS CGT Rhône)

DEUXIEME PARTIE

La sécurité sociale « son devenir » avec des textes et une analyse du professeur GRIMALDI de l’AP de PARIS un rare professeur qui défend la sécurité sociale……

POUR MIEUX COMPRENDRE LES ENJEUX VENEZ NOMBREUX LE 21/10 AUX ARCHIVES MUNICIPALES A 18H30 Le débat risque d’être animé

Cette conférence marquera la fin du cycle de 3 conférences sur la protection sociale , cycle organisé par l’IHS CGT en collaboration avec les archives municipales de lyon

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2 octobre 2014 4 02 /10 /octobre /2014 15:28

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18 septembre 2014 4 18 /09 /septembre /2014 12:59
le 16 octobre, la sécurité sociale c'est vitale. Mobilisons nous
le 16 octobre, la sécurité sociale c'est vitale. Mobilisons nous

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24 mai 2013 5 24 /05 /mai /2013 06:37

 

Comment les plans d’austérité dégradent la santé des Européens

Par Rachel Knaebel (4 avril 2013)

Hausse généralisée des suicides et des troubles psychologiques, retour de maladies bannies comme la malaria, menace sur la santé des enfants des familles populaires… Tel est l’alarmant constat sur la santé des Européens que dresse une étude choc publiée par la revue médicale britannique The Lancet. En cause : l’orthodoxie économique et les plans d’austérité prônés dans toute l’Europe. L’étude dénonce également le silence des ministres de la Santé.

à l'hôpital nous soignons, les réductions budgétaires tuent

En avril 2012, un retraité grec de 77 ans se suicidait en plein jour sur la place Syntagma d’Athènes, devant le Parlement. Le pharmacien à la retraite avait laissé une note : sa pension était devenue misérable et il ne voulait pas être réduit à fouiller les poubelles pour se nourrir. Son acte est devenu le symbole de l’explosion des suicides dans le pays. Leur nombre a augmenté de 40% en un an ! Plans d’austérité, baisse de revenus et chômage mèneraient-ils au suicide ?

« Une hausse du chômage de plus de 3% dans un temps relativement court est associée à une augmentation d’environ 5% du taux des suicide et des blessures auto-infligées », estime, froidement, le dernier rapport de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), publié début mars et consacré à l’Europe [1] En Grèce, le chômage a augmenté de 10% en seulement deux ans, pour atteindre 26,4% fin 2012...

Il n’y a pas que les suicides. Dans son rapport « Crise financière, austérité et santé en Europe », publié le 27 mars, la revue médicale britannique The Lancet [2], dresse un constat alarmant : la santé des européens se dégrade, en particulier dans les pays frappés de plein fouet par les politiques d’austérité. Et confirme la hausse générale des suicides dans l’ensemble de l’Union européenne, dont la courbe s’envole depuis 2007, après une période de sept années de baisse constante.

En Grèce : suicides, sida, malaria et dengue

Selon les analyses du Lancet, les nouvelles infections au VIH chez les usagers de drogues par injection ont aussi explosé en Grèce ces deux dernières années. Avant l’austérité, sur la période 2007-2010, le pays comptait 10 à 15 nouvelles infections annuelles dans cette catégorie de population. Le chiffre est passé à 256 nouvelles infections en 2011 et à 314 pour les huit premiers mois de 2012 [3] ! Soit vingt fois plus !

En cause : le recul de la prévention, avec, par exemple, l’arrêt des programmes d’échange de seringues depuis 2008. Le directeur de l’étude menée par The Lancet, Martin Mac Kee [4], signale même « la réapparition de la malaria et l’émergence de la dengue en Grèce ».

En Espagne : la santé des enfants menacée

Car les plans d’austérité mis en œuvre sous l’impulsion de la Commission européenne en Grèce, au Portugal, en Espagne et en Irlande ont touché de plein fouet les systèmes de santé. Le forfait à la charge des patients grecs a par exemple augmenté de 3 à 5 euros par consultation. Et le pays a supprimé 2 000 lits dans les hôpitaux publics. « En Grèce, la troïka (Commission européenne, Fonds monétaire international, Banque centrale européenne, ndlr) a demandé à ce que les dépenses de santé ne représentent pas plus de 6% du PIB, notent les auteurs de l’étude, créant ainsi un précédent dans l’UE de prise du contrôle sur le système de santé national d’un État membre. »

En Espagne, le gouvernement a adopté en 2012 un plan de réduction des dépenses de santé de 7 milliards d’euros sur deux ans. Le pays a ainsi exclu les sans papiers du système de soins, sauf pour les urgences. Et il a fermé ou privatisé des dizaines d’hôpitaux et de centres de santé. Les enfants ne sont pas épargnés : la proportion d’enfants vivant dans des familles sans emploi a été multipliée par trois en Catalogne [5], avec des conséquences certaines sur leur santé.

Portugal et Irlande : baisse de la couverture santé

Au Portugal, l’accord conclu en 2011 entre Lisbonne et la troïka prévoit une coupe de 670 millions d’euros dans la santé. Le reste à charge des patients a doublé – de 2,25 à 5 euros – pour une consultation en ville et jusqu’à 20 euros pour une visite aux urgences. Seuls les patients à bas revenus, les malades chroniques – si la visite est en lien avec leur maladie – et les personnes handicapées en sont exemptés. En Irlande, la couverture santé a été réduite pour les plus de 70 ans et même les bas revenus doivent maintenant payer un ticket modérateur.

D’autres pays ont réduit leurs dépenses de santé à l’occasion de la crise. En plus de la Grèce et du Portugal, la Lettonie, la Slovénie et le Danemark ont accéléré la restructuration de leur secteur hospitalier. Et les professionnels de santé ont vu leurs salaires réduits en Grèce, au Portugal, en Irlande, mais aussi à Chypre, en Lituanie et en Roumanie.

L’Islande en meilleure forme

« De telles répercussions de la crise sur la santé ne sont toutefois pas inévitables », note la revue britannique, qui prend l’Islande en contre-exemple. Le premier pays touché par la crise financière « a rejeté l’orthodoxie économique qui se faisait l’avocate de l’austérité, a refusé d’être comptable de l’irresponsabilité de quelques banquiers et a investi dans son peuple », et a pu maintenir à niveau ses politiques de santé.

Ailleurs, là où les services publics sont sacrifiés sur l’autel des économies budgétaires, la véritable ampleur des conséquences sur la santé des citoyens ne seront visibles que dans plusieurs années. Alors que les données financières sont mises à jour à la semaine près, il faut environ deux ans pour obtenir les données sanitaires des populations, notamment le suivi du taux de mortalité. Du coup, « l’analyse des effets immédiats de la crise sur la santé » est « impossible », soulignent les auteurs de l’étude.

« Des ministres de la Santé bien silencieux »

A leurs yeux, « les voix des responsables de la santé publique sont restées inaudibles dans le débat sur la réponse à apporter à la crise. Nombre de ministres de la Santé sont demeurés silencieux. Le directeur général chargé de la santé et de la protection du consommateur à la Commission européenne a l’obligation légale d’examiner les conséquences des politiques européennes sur la santé. Il ne l’a pas fait pour la politique d’austérité de la troïka. Au lieu de cela, il s’est limité à conseiller les différents ministères de la Santé des pays membres sur comment ils pouvaient couper dans leurs budgets ». Pendant ce temps, les gouvernements ont les yeux rivés sur le moindre point de croissance.

« Une petite lueur d’espoir vient des organisations de la société civile européenne, dont les professionnels de santé, qui se sont prononcées sur les effets néfastes des coupes budgétaires en matière de santé et de dépenses sociales. La question est : quelqu’un les écoute-t-il ? », conclut l’étude. Le président du groupe des socialistes et sociaux-démocrates au Parlement européen, l’Autrichien Hannes Swoboda, a vite réagi à l’étude britannique. « Tous les rapports de la Commission devraient porter le label “L’austérité tue” », a-t-il déclaré le 27 mars. Sera-t-il entendu ?

Rachel Knaebel

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23 mai 2013 4 23 /05 /mai /2013 06:01
Pétition contre la reprise de l’épandage aérien en Guadeloupe

Le Tribunal Administratif de Basse-Terre a annulé les arrêtés préfectoraux des 13 juillet et 15 octobre 2012 autorisant l’épandage aérien. Ni le LPG [1] ni le Ministre de l’Agriculture n’ont cru devoir faire appel de ce jugement.

Le Collectif est atterré par la désinvolture avec laquelle le LPG vient de demander une nouvelle dérogation pour reprendre l’épandage aérien, marquant ainsi sa volonté de contourner la loi en s’appuyant sur la force de leur lobbying et leurs soutiens politiques.

Si les planteurs ont jusqu’à présent réussi à maîtriser la cercosporiose jaune, au prix de multiples épandages aériens, et en utilisant abondamment comme adjuvant une huile paraffinique, dérivée du pétrole, (banole) bien loin d’être inoffensive, il n’en va pas de même avec la cercosporiose noire apparue en Guadeloupe début 2012, bien plus redoutable. Cette nouvelle maladie, à laquelle est très sensible la variété Cavendish, demande en effet plus d’interventions d’épandage de fongicides, ce qui est actuellement loin d’être possible, compte tenu du « panel » de produits phytopharmaceutiques autorisés.

Nous rappelons que les produits utilisés sont très dangereux pour la santé de la population et de la faune. Ils peuvent générer des cancers, de graves perturbations endocriniennes, et sont très toxiques pour les organismes aquatiques. Si certains ont reçu un avis favorable de l’ANSES [2], on ne peut admettre que cette agence, qui restreint son étude aux effets d’un seul produit à la fois, se contente de juger le risque comme « acceptable », sans en particulier tenir compte des effets « cocktail » de l’accumulation de produits différents dans les organismes vivants, ni des effets des faibles concentrations à long terme, ni des conditions climatiques des zones tropicales.

On ne peut d’autre part admettre que cette agence ne tienne compte que des données fournies par les industriels, pratique qui laisse planer un fort doute légitime sur l’impartialité de ses analyses. Dans ce contexte, le principe de précaution inscrit dans la constitution en février 2005 est bafoué.

La nouvelle demande de dérogation est particulièrement imprécise quant aux produits à utiliser, puisqu’il est question de : « tous produits évalués et autorisés à être utilisés par voie d’épandage aérienne pour lutter contre les organismes nuisibles susmentionnés ».

Doit-on dans ces conditions délivrer un blanc-seing aux planteurs leur permettant d’utiliser sans préavis toute nouvelle substance mise sur le marché ? Ils s’inscrivent ainsi dans une course en avant pour au moins huit ans encore, car la disponibilité de variétés Cavendish résistantes aux cercosporioses ne pourra (théoriquement) être effective qu’à cet horizon.

Alors qu’une dérogation ne peut avoir qu’un caractère exceptionnel et limité dans le temps, la démarche à nouveau engagée risque de devenir générale et permanente.
L’exploitation productiviste de la variété « Cavendish », très fragile aux maladies, fait de plus en plus face à la concurrence internationale au fur et à mesure de l’abaissement programmé des barrières douanières.

Cette culture n’a pu être maintenue jusqu’à présent que grâce aux subventions généreuses du programme POSEI [3]. Elle a ainsi bénéficié entre 2007 et 2011 d’une aide d’un montant annuel moyen de plus de trente millions d’euros, ce qui représente 15 000 euros/ha ou 100 000 euros par emploi direct ou indirect.

Cette manne financière a été « détournée » au détriment des autres activités agricoles qui permettraient d’atteindre une meilleure autonomie alimentaire de la Guadeloupe.
Aux subventions cumulées depuis 2006 (188,67 millions d’euros), il est indispensable d’ajouter les 64 millions d’euros des plans Chlordécone I et II, suite à la tragédie que tout guadeloupéen connait et qui a conduit, après deux dérogations criminelles accordées pour « épuiser les stocks », aux conséquences que l’on connait.

Comme le souligne la Cour des Comptes en 2011, ces sommes auraient été mieux employées à soutenir des alternatives agricoles utiles au développement économique de la Guadeloupe, et créatrices d’emploi.

Le Collectif Vigilance Citoyenne n’est pas contre la culture de la banane, mais contre des pratiques culturales sans avenir qui obèrent les autres activités agricoles.

Le Collectif s’oppose à ces pratiques et logiques qui arrivent à leur terme, parce qu’elles ne sont motivées que par des intérêts particuliers, qui, sous prétexte de préserver un capital économique, compromettent durablement la Santé et l’Environnement de la Guadeloupe.

CECI NE PEUT PLUS DURER !

Le Collectif Vigilance Citoyenne, au nom :

• Du principe de précaution inscrit dans la Constitution, et qui permet d’empêcher que d’autres pesticides ne viennent aggraver les dégâts dévastateurs occasionnés par la Chlordécone.

• De la préservation de la qualité de notre production vivrière, de l’eau, de la faune et de la flore, et par voie de conséquences celle de tout un secteur touristique se tournant de plus en plus vers notre patrimoine naturel.

• De l’urgente nécessité de mener une réflexion sur l’orientation de notre agriculture et sur une meilleure utilisation des aides à ce secteur.

S’oppose fermement à toute reprise de l’épandage aérien. Appelle à la mobilisation de chacun pour signer et faire signer cette pétition.

Ces signatures [4] seront adressées à Madame la Préfète pour consignation dans le registre des observations de la consultation publique.

Le Collectif Vigilance Citoyenne

PS: n’hésitez pas à laisser un message à l’aide du formulaire ci-dessous ou à l’adresse petition@collectifvigilancecitoyenne.org afin de compléter votre pétition avec un témoignage, un texte, des informations ou pour ajouter des renseignements vous concernant (notament attester de vos qualités – citoyen, militant associatif, fonctions électives ou politiques, … ).

POUR SIGNER, CLIQUER SUR LE LIEN ET REMPLIR LE FORMULAIRE EN BAS DE PAGE:

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15 mai 2013 3 15 /05 /mai /2013 05:27
Présentation débat « TRANSITION ENERGETIQUE » , Jeudi 23 Mai 2013 de 18h à 20h30, Bourse du Travail, Place Guichard 69003 Lyon

Présentation débat « TRANSITION ENERGETIQUE »

« 1,34 milliard de personnes n’ont toujours pas accès à l’électricité, « énergie moderne » ; 2,7 milliards dépendent toujours de la biomasse traditionnelle et du charbon comme source principale de combustible. Ceci est susceptible d’augmenter encore en raison d’une urbanisation croissante dans les pays en développement. Sans accès à l’énergie c’est tout le fonctionnement des services collectifs dans les pays en développement qui est entravé. »

L'institut Energie et Développement et le Syndicat CGT Lyonnais de l’Energie, tous deux acteurs nationaux dans le débat sur la transition énergétique, organisent une soirée autour de deux tables rondes consacrées à la précarité énergétique et à la péréquation tarifaire.

La politique énergétique revêt une dimension stratégique. L’accès à l’énergie, c’est la possibilité de se chauffer, s’éclairer, mais c’est également l’accès à la santé, l’éducation, la culture… C’est également un facteur important de localisation industrielle.

Or le droit à l’énergie est loin d’être acquis avec des inégalités qui se creusent entre les peuples et à l’intérieur même des pays. La réponse aux questions énergétiques implique de véritables choix de société en termes de satisfaction des besoins et enjeux géopolitiques découlant de la possession des ressources fossiles et du réchauffement climatique.

L'institut Energie et Développement et le Syndicat CGT Lyonnais de l’Energie ouvrent le débat pour permettre le développement humain durable, alliant cause écologique et anthropologique.

Pour un Service Public de l'énergie comme réponse à la précarisation énergétique, aux besoins de la nation et de sa population.

Jeudi 23 Mai 2013 de 18h à 20h30, Bourse du Travail, Place Guichard 69003 Lyon

Contacts : Syndicat Lyonnais de l'Energie, 9 rue des Cuirassiers, 69003 Lyon.

Courriel : egs-lyon-syndicat-cgt@erdf-grdf.fr - Tel : 04 78 94 80 15 - Fax : 04 78 94 80 11

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26 février 2013 2 26 /02 /février /2013 08:52

communique-commun-des-7-du-22-fevrier-2013.png

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23 février 2013 6 23 /02 /février /2013 10:04

CP 253 Abrogation du jour de carence L-action collective pa

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5 février 2013 2 05 /02 /février /2013 10:04

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